L'ATLAS DE LA CREATION Volume 2
L'ATLAS DE LA CREATION Volume 2
Publication year :
2007
Publish location :
Imprimé en Turquie
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L'ATLAS DE LA CREATION Volume 2
INTRODUCTION
Dans quasi toutes les écoles du monde, les manuels de biologie utilisés à des fins pédagogiques rapportent une histoire de la vie fausse. Les étudiants apprennent sous le titre de "la théorie de l'évolution", en réalité, des mécanismes totalement déficients, des preuves falsifiées, des illustrations et des croquis conjecturaux, des fossiles mal-interprétés et une histoire des êtres vivants fallacieuse.
Ce mythe, sujet de nombreux livres et de cours répétés un nombre indéfini de fois, est considéré si factuel que rares sont ceux qui expriment le moindre doute sur la véracité de l'évolution. Les étudiants s'imaginent tous avoir reçu une éducation fiable qui leur sera utile au cours de leur vie. Ils seraient étonnés d'apprendre qu'un mensonge sur un thème aussi important que le véritable sens de la vie leur a été enseigné sous couvert scientifique.
Le fait est qu'un effort déterminé est fait pour imposer ce mensonge au public et le répandre dans le monde entier. Ce mensonge est une invention de toute pièce, enseigné dans les écoles. Des preuves fabriquées et des histoires erronées à propos de l'histoire de la vie sont véhiculées par la plupart des médias. Les experts en la matière, parfois même les gagnants des prix Nobel, épousent le mensonge en défendant cette tromperie.
"L'histoire de la vie" enseignée par les instructeurs depuis tant d'années est un scénario falsifié - une alliance perpétuant à travers le monde la supercherie coordonnée de l'évolution.
La force croissante de cette alliance et de son emprise sur les manuels scolaires et les médias s'explique par sa base matérialiste. Le darwinisme, nourri par la perspective matérialiste, qui domine actuellement le monde, se renforce et est mis en avant grâce à la même idéologie. Les matérialistes ont peu de scrupules à présenter des preuves falsifiées au public. L'objectif de cette politique étendue est évident : détourner les hommes de la foi en Dieu, de nier Son existence et de dépeindre la matière comme unique réalité absolue !
Les darwinistes continuent à ignorer que les êtres vivants ont été créés ! Il n'existe rien d'assimilable à l'évolution dans l'histoire de la vie.
Dieu est le Créateur et le Seigneur de toutes choses. Il crée la matière et donne la vie à toutes les entités. Il n'y a pas d'autre Créateur en dehors de Dieu, et pas d'autre puissance en dehors de Lui. Par conséquent, seules des preuves de la création sur terre existent.
Les darwinistes se heurtent à ces preuves dans toutes les recherches qu'ils entreprennent pour tenter de prouver l'évolution. Leur tentative est un échec, car il n'y a pas de preuve que l'évolution a bien eu lieu. Ils se retrouvent constamment face à la création soudaine, complexe et sublime. Les preuves fausses ne soutiennent pas une théorie fausse. Au contraire, elles la rendent encore moins solide et moins fiable. Au nom de la survie du matérialisme, les darwinistes persistent toutefois dans leurs méthodes trompeuses, comme enfermés dans un cercle vicieux.
Mais tout ceci arrive enfin à son terme. Le concept a été détruit par de nombreuses preuves, notamment par les "fossiles vivants" dont le nombre augmente chaque jour. Une forme de vie restée identique pendant 150 millions d'années, ou qui n'a pas changé même au cours de 300 millions d'années, élimine définitivement le scénario de l'évolution. Des millions d'espèces vivantes, à propos desquelles de nombreux scénarios évolutionnistes furent inventés, illustrent l'absence d'évolution dans les fossiles laissés par leurs ancêtres. Les êtres vivants que nous observons aujourd'hui auraient dû, selon les darwinistes subir l'évolution. Pourtant les spécimens de fossiles de ces espèces identiques étayent le fait qu'elles n'ont jamais subi une quelconque évolution.
Les fossiles vivants sont des preuves si puissantes qu'ils anéantissent toutes les affirmations darwinistes, réfutant ainsi le non-sens de l'évolution enseigné dans les manuels. Ils remettent totalement en question les fausses reconstitutions "intermédiaires" dans tous les musées de l'évolution, et démontrent que les scénarios imaginaires évolutionnistes dans les divers livres et articles darwinistes ne sont que des fabrications.
Les darwinistes s'évertuent à ignorer ces preuves sans pour autant réussir à les éliminer. Les fossiles vivants, dont on découvre chaque jour davantage de spécimens, ont, en effet, déjà aboli la thèse de l'évolution.
Ce livre présente ces faits importants ainsi que l'embarras des darwinistes face aux preuves. Vous verrez comment cette supercherie se désagrège depuis l'époque de Charles Darwin, auteur de cette théorie. Les exemples de fossiles vivants illustrés dans ce livre ne représentent qu'une infime partie des preuves invalidant cette duperie. Des nombreux spécimens de "fossiles vivants" sont découverts régulièrement dans presque toutes les strates sédimentaires, un seul, néanmoins, suffit à réfuter le darwinisme.
La loi de Dieu anéantit l'ordre darwiniste :
Ou bien cherchent-ils à tramer quelque intrigue ? Ce sont ceux qui ont mécru qui sont les victimes de leurs propres intrigues. Ou ont-ils une autre divinité à part Dieu ? Que Dieu soit glorifié et purifié de tout ce qu'ils associent ! Et s'ils voient tomber des fragments du ciel, ils disent : "Ce sont des nuages superposés." Laisse-les donc, jusqu'à ce qu'ils rencontrent leur jour où ils seront foudroyés. Le jour où leurs intrigues ne leur serviront à rien, et où ils ne seront pas secourus. (Sourate at-Tur, 42-46)
DARWIN S'EST TROMPE: LES ESPECES N'ONT JAMAIS CHANGE
Le plus grand problème auquel il (Darwin) dut probablement faire face était les moyens par lesquels les caractéristiques adaptatives furent transmises de génération en génération, car les principes de la génétique n'avaient pas encore été découverts à l'époque de la mort de Darwin. Un second problème qu'il ne put résoudre s'apparentait à la nature des archives fossiles.1
Darwin donna le nom de "théorie de l'évolution" à l'hypothèse qu'il développa, sur les deux attentes décrites par le paléontologue évolutionniste Douglas Ward dans l'extrait cité ci-dessus.
Sa première supposition était que les gènes donnant naissance à des caractéristiques différentes pouvaient être transmis, d'une manière imaginaire, aux générations suivantes, conduisant ainsi à des changements parmi les espèces. Il conjecturait, par ailleurs, que ces séries de changements imaginaires pouvaient être préservés dans les archives fossiles.
Darwin pouvait aisément prétendre que des changements s'opéraient dans les traits anatomiques d'un être vivant et qu'ils étaient ensuite transmis aux générations subséquentes, s'ensuivant alors une nouvelle espèce. Dans les années 1850, lorsque Darwin présenta ses idées, la science en était encore à ses balbutiements. L'étude de la génétique n'était pas encore née. La complexité des cellules et des chromosomes, sans parler de l'ADN, restait encore à être découverte. La structure glorieuse des gènes déterminant toutes les caractéristiques d'un être vivant, les données contenues dans ces gènes et leur complexité étaient alors complètement inconnues.
Il était, par conséquent, facile pour Darwin de croire que des fossiles quelque part sur terre allaient venir confirmer ces changements hypothétiques au sein des espèces. D'après lui, les fossiles de formes intermédiaires existaient dans les couches géologiques, mais n'avaient pas été mis à jour. A cette époque, le nombre de spécimens de fossiles extraits des roches était très limité. Etant donné qu'aucune forme intermédiaire n'avait été découverte, Darwin s'attendait à ce qu'à l'avenir on voie apparaître ces "liens manquants" imaginaires. Il suffisait pour cela de temps et d'études soignées.
Darwin érigea sa théorie sur deux hypothèses de base, mais un examen précis ne révèle ni preuve ni observation, parce que la théorie de l'évolution fut avancée pour des raisons totalement idéologiques et non scientifiques. Elle fut inventée pour détourner les hommes de leur foi en Dieu et pour leur offrir une soi-disant alternative au fait de la création. Il s'agit en fait d'une adaptation de l'histoire naturelle de la logique matérialiste instillée à travers le monde à cet effet. Le fait d'associer la théorie à la science facilita son acceptation, en raison notamment du stade primitif de la science à cette époque. L'illogisme de la théorie était clair, mais les standards scientifiques étaient alors tels que les preuves de la faiblesse de la théorie ne pouvaient encore être comprises.
Le siècle et demi qui suivit fournit rapidement d'innombrables preuves scientifiques démontrant l'invalidité de l'hypothèse de Darwin. Les données révélées par la génétique éradiquent complètement l'idée d'espèces "descendant" d'autres espèces à travers des changements minimes graduels. Les gènes, comme nous le savons aujourd'hui, sont extrêmement complexes et délicats. Une quelconque mutation peut avoir un effet inverse et dommageable sur eux. Il est, par conséquent, impossible que des changements aléatoires totalement inconscients se produisent dans les gènes de sorte que la structure d'un organisme se transforme en une autre avec différentes fonctions.
Les archives fossiles représentent également une déception majeure pour les darwinistes. Aucun fossile de forme intermédiaire n'a été découvert contrairement aux attentes de Darwin. L'idée que les archives fossiles sont "inadéquates" ne fait désormais plus partie du credo darwiniste, parce que la terre a fourni la plupart des spécimens existants. Une grande partie de la planète a été fouillée. La paléontologie révèle plutôt qu'aucun exemple de "transition" n'existe. Les êtres vivants qui existaient il y a des millions d'années n'ont jamais changé depuis tout ce temps.
Le paléontologue évolutionniste de l'Université d'Harvard Stephen Jay Gould affirme ouvertement que Darwin était, en réalité, conscient de ce point lorsqu'il écrivit :
Les archives fossiles ont causé à Darwin davantage de peine que de joie.2
Les évolutionnistes Niles Eldredge et Ian Tattershall du Musée Américain d'histoire naturelle ont décrit leur position en ces termes : … Que des sortes individuelles de fossiles soient notoirement restées identiques au cours de leur occurrence dans les archives fossiles étaient un fait déjà connu par les paléontologues bien avant que Darwin ne publie son Origine. Darwin, lui-même,… prophétisa que les générations futures de paléontologues allaient combler ces fossés par des recherches diligentes… 120 ans de recherches paléontologiques plus tard, il est devenu très clair que les archives fossiles ne confirmeront pas cette partie des prédictions de Darwin, ni celles de maigres archives fossiles. Les archives fossiles montrent simplement que cette prédiction est fausse.
L'observation que les espèces sont des entités incroyablement conservatrices et statiques au cours de longues périodes, a toutes les qualités des nouveaux vêtements de l'empereur : tout le monde le savait, mais préférait l'ignorer. Les paléontologues, confrontés à des archives récalcitrantes refusant de céder au schéma prédit par Darwin, se contentèrent simplement de tourner la tête.3
En résumé, Darwin défendit sa théorie de l'évolution en ignorant délibérément toutes ces impossibilités, alors qu'elles étaient tout à fait connues à l'époque. Scientifiquement, il n'existe pas de changements génétiques utiles se produisant aléatoirement chez les espèces, ni de transmissions de ces mêmes changements aux générations suivantes. Les fossiles n'indiquent pas de tels changements et ne proposent pas la moindre cellule de l'une de ces formes intermédiaires hypothétiques qui auraient dû exister au cours des centaines de millions d'années.
Ceci étant, quelles preuves scientifiques maintiennent la théorie de l'évolution en vie ?
Il n'y en a pas ! Cela montre une fois de plus que les raisons en faveur du darwinisme sont idéologiques plutôt que scientifiques. Le protocole scientifique requiert qu'une hypothèse soit d'abord affirmée, ensuite celle-ci passe au stade de règle, uniquement après avoir été soutenue par des preuves. Cependant, ce schéma ne fut pas respecté pour la théorie de l'évolution, car pas une seule preuve ne vient étayer la théorie. Néanmoins, elle subsiste dans les manuels et apparaît régulièrement dans les médias, de manière très trompeuse. Elle est protégée par des lois et préservée par la logique suivante : "Elle est immuable et aucune décision à son encontre ne peut être formulée." La seule raison de tout cela est que la théorie de l'évolution est une croyance dogmatique, et non une thèse scientifique.
Les archives fossiles réfutent constamment les affirmations du darwinisme et pointent vers le fait de la création. Tous les efforts des darwinistes pour prouver le contraire ont abouti à l'échec. Les preuves issues des roches sédimentaires déclarent ouvertement que les êtres vivants n'ont pas subi d'évolution. Deux des plus grandes preuves sont l'absence de fossiles de formes intermédiaires et la stagnation dans les archives fossiles mêmes.