Dans ce discours, le public découvre la biographie de Shahrbanu, la mère de l'Imam Sajjad (as). En présentant des sources historiques authentiques et documentées, l'auteur prouve que sa mère est la fille de Yazdgerd III et la petite-fille de Khosroparviz. Il précise à ce sujet que le livre de généalogie et des hommes, les sources de hadiths et de jurisprudence dans lesquelles le nom de Hazrat Sajjad (as) est mentionné, ainsi que les biographies et autres sources historiques, chacun d'eux a souligné et clarifié ce point en citant des raisons. L'auteur a présenté ces livres un par un en mentionnant les noms de leurs auteurs, parmi lesquels figurent des sources et des références telles que : Tafsir Kashsaf Zamakhshari, Tabaqat al-Kubari d'Ibn Saad Waqadi, Tarikh al-Bayhaqi, Qabusnameh, al-Maarif Ibn Qutaiba, Tarikh al-Tabari, al-Badaiya et al-Nahiya, Majamal al-Tawarikh et al-Qasas. . En plus de ces sources, l'auteur souligne que des juristes de haut rang tels que Sheikh Mufid, le célèbre Muhaddith de Sheikh Sadouq, Tabarsi, le commentateur du Coran, Muhammad Ibn Makki, connu comme le premier martyr, Allameh Halli, et Imam Fakhrazi dans leurs écrits et leurs recherches sur Shahrbanu, la fille de Yazdgerd III Ils sont nommés comme la mère de l'Imam Sajjad (AS).

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Son altesse royale Chahr-Banou

Au nom de Dieu le Clément, le Miséricordieux
L’Islam est l’unique religion que Dieu a bien voulu agréer pour nous. Nous glorifions le Tout-Puissant pour une telle largesse à l’endroit de ses humbles créatures que nous sommes :
« Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et J'agrée l'Islam comme religion pour vous. » (Al-Mâida, 5 : 3)
« Et quiconque désire une religion autre que l'Islam, ne sera point agréé, et il sera, dans l'au-delà parmi les perdants. »--(âle 'Imrân, 3 : 85)
Cela n’exclut pas cependant la tolérance vis à vis des adeptes d’autres religions, notamment nos frères des religions révélées, les gens du Livre, dont les textes ont été abrogés par le Coran.
Cette tolérance et le devoir de protection qui en résulte sur les plans physique, social et cultuel, reviennent comme un leitmotiv plusieurs fois dans le Livre de Dieu :
« Et ne discutez que de la meilleure façon avec les gens du Livre, sauf ceux d'entre eux
qui sont injustes. Et dites : "Nous croyons en ce qu'on a fait descendre vers nous et descendre vers vous, tandis que notre Dieu et votre Dieu est le même, et c'est à Lui que nous nous soumettons". » (Al-Ankabout, 29 : 46)
Cette religion est une, indivisible et immuable. Elle a l’avantage sur bien d’autres religions d’avoir une référence à la fois matérielle, donc relative, et absolue. Nous voulons parler du Saint Coran.
Son aspect matériel réside évidemment dans sa présentation sous forme de livre, d’écritures.
Ces écrits sont restés inchangés depuis qu’ils ont été révélés par Dieu au Sceau des Prophètes (P).

LES VERITES DE LA SUCCESSION DU PROPHETE (P) TOME I

Écrit par le martyr Hodjatoleslam Mohammad Montazeri, ce livre analyse la Révolution islamique en Iran. Les manifestations contre le régime du Shah durent depuis plus de sept mois, paralysant le pays et poussant la population à l'exil. Le régime vit ses dernières heures avant le retour triomphal de l'imam Khomeini et l'instauration de la République islamique

Analyse de la Révolution Islamique d'Iran

Muhammad ibn Hassan Askari (a.s.), connu sous les noms d'Imam Mahdi (a.s.), Imam du Temps et Hujjat ibn al-Hasan (né en 255 AH), est le douzième et dernier imam des chiites duodécimains. Les chiites croient qu'il est le Mahdi promis qui réapparaîtra après une longue période d'occultation. Son imamat débuta après le martyre de son père, l'imam Hassan Askari (a.s.), en 260 AH. Selon des sources chiites, durant l'imamat de l'imam Hassan Askari (a.s.), le gouvernement abbasside cherchait à trouver son fils comme Mahdi et successeur de son père ; par conséquent, la naissance de l'imam al-Zaman (a.s.) fut tenue secrète, et personne ne le vit, hormis quelques compagnons particuliers du onzième imam chiite. C'est pourquoi, après le martyre de l'Imam Askari (a.s.), certains chiites devinrent sceptiques et des sectes apparurent au sein de la communauté chiite. Un groupe de chiites suivit Ja'far al-Kadhab, l'oncle de l'Imam al-Zaman (a.s.). Dans ces circonstances, les prophéties de l'Imam du Temps, généralement adressées aux chiites et communiquées au peuple par des représentants spéciaux, conduisirent au rétablissement du chiisme ; à tel point qu'au quatrième siècle du calendrier lunaire, parmi les sectes qui s'étaient séparées du chiisme après le martyre du onzième Imam, seul le chiisme duodécimain subsista.
Après le martyre de son père, l'Imam du Temps (a.s.) passa un certain temps en Occultation Mineure, durant laquelle il resta en contact avec les chiites par l'intermédiaire de quatre représentants spéciaux. À partir de 329 de l'Hégire, les contacts du peuple avec lui par l'intermédiaire de représentants spéciaux cessèrent également et la période d'Occultation Majeure commença. Les érudits chiites ont fourni des explications sur les raisons et les détails de la longue vie de l'Imam du Temps. Dans les hadiths des infaillibles, son occultation est comparée au soleil derrière un nuage.
Selon les chiites, l'Imam Mahdi (a.s.) est vivant et apparaîtra dans le futur. Avec ses compagnons, il établira un gouvernement mondial et remplira le monde, rongé par l'oppression, de justice et d'équité. Les récits islamiques insistent fortement sur l'attente du retour de l'Imam al-Zaman (a.s.), et les chiites comprennent ces récits comme signifiant l'attente du retour de l'Imam al-Zaman (a.s.). Selon ces récits, les commentateurs chiites ont considéré que certains versets du Coran faisaient référence à l'Imam al-Zaman (a.s.). De nombreux hadiths ont également été rapportés au sujet de l'Imam al-Zaman, de sa vie, de son occultation et de son règne. On dit que plus de 2 000 livres ont été écrits sur l'Imam al-Zaman, en différentes langues et sur divers sujets. Les sunnites considèrent un certain Mahdi comme le sauveur de la fin des temps et le considèrent comme issu de la lignée du Prophète (paix sur lui) ; cependant, certains d'entre eux croient qu'il naîtra dans le futur. Parallèlement, certains érudits sunnites, comme Ibn al-Jawzi et Ibn Talha al-Shafi'i, croient, comme les chiites, que le Mahdi promis est le fils de l'Imam Hassan al-Askari (a.s.), né en 255 de l'Hégire.

La Biographie d`al-Mahdi (AS)

Durant les Croisades, toutes sortes de calomnies furent inventées contre le prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui).  Avec l’apparition de l’ère moderne, marquée par une plus grande tolérance religieuse et une liberté de croyance accrue, un changement s’est opéré dans l’approche des auteurs occidentaux quant à leur façon de décrire la vie et le caractère de Mohammed.  Les points de vue de certains érudits non-musulmans, rapportés à la fin de cet article, en font foi.Il reste cependant un pas supplémentaire à franchir, pour l’Occident, afin qu’il reconnaisse Mohammed comme le dernier des prophètes de Dieu, envoyé à toute l’humanité, jusqu’à la fin des temps.  Car malgré toute son ouverture et son objectivité, il n’y a pas eu d’efforts sincères, dans cette partie du monde, pour comprendre la mission prophétique de Mohammed.  Il est étrange de voir des hommages fort élogieux lui être rendus pour son intégrité et ses nombreuses réalisations, tout en voyant sa mission prophétique, en tant que véritable prophète de Dieu, être rejetée, de façon implicite ou même explicite.  C’est ici qu’il serait bon que chacun fasse un examen de conscience et revoie sa définition personnelle de l’objectivité.  Les faits suivants, tirés de la biographie de Mohammed, sont susceptibles d’aider chacun à se faire une idée un peu plus claire du personnage et de sa mission.

Ce qu’ils ont dit sur Mohammed

La fille du noble Prophète Mohammad (pslf) est Fâtimah az-Zahrâ (pse). Sa mère est la Dame Khadîja (pse), Mère des Musulmans. Son mari est Amir al-Mo'minîn (psl), le premier des Successeurs du Prophète et ses fils et petits-fils sont les 11 Imams (pse). Fâtimah (pse) est née le 20 Jamadi Thâni II, 45 ans après la naissance du Prophète. Elle est décédée à Médine le 3 Jamadi Thâni en l'an II de l'Hégire à l'âge de 18 ans. L'Imâm ‘Alî (psl) s’occupa de ses funérailles et selon sa volonté (à elle) il l’enterra dans un lieu tenu secret car elle ne voulait pas que les ennemis de son père profitent des nombreuses bénédictions de la ziyarât (visite) sur sa tombe. Mariée au gendre du Prophète ‘Alî (pse), suivant le décret de Dieu, elle donna naissance à 5 enfants: les Imâms al-Hassan et al-Hossayn (pse), 2 filles, Zainab al Koubrâ et Oumm Koulthoum (pse) et Mohsin qui fut tué dans son ventre lorsqu'elle fut attaquée par ses ennemis. Le Saint Prophète (pslf) la considérait comme la Maîtresse des Femmes Des Mondes. Il l'aimait et la respectait tellement que chaque fois qu'elle entrait dans sa chambre il se levait pour l'accueillir, la faisait asseoir à sa place et même embrassait sa main. Elle était à l'exemple de son père du point de vue noblesse, piété et dévotion.

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L’ILLUSTRE FATIMAH AZ-ZAHRA (Que la Paix soit sur Elle)

Extrait du livre : Jaâfar Taiar ( Le premier ambassadeur de l'Islam ) , par Chakib Bendebira, Fondation Ansariyan. La deuxième aile de l'Islam
Ce fut un jour historique, lorsque Abou Taleb (ra) remarqua l'absence de son cher neveu, notre Maitre et Prophète Muhammad (swas).Inquiet et angoissé, il commença à chercher partout. Accompagné par son fils Jaâfar, il s'éloigna de la Mecque pour chercher dans les alentours. Enfin, dans un recoin de montagne, ils aperçurent Muhammad (swas) en train de prier avec son cousin Ali (as). La majesté et l'aspect pieux et déférenet des deux prieurs illustres saisit Abou Taleb.Ne pouvant lui-même participer à cette scène sublime- sous peine de divulguer le secret de sa foi- Il ordonna vite à son fils Jaâfar de les jondre pour compléter l'aile gauche du Prophète (swas) ! Aussi lui dit-il :"Complète l'aile de ton cousin"est-il que nul oiseau ne peut voler qu'à l'aide de deux ailes.Et il est clair qu'Abou Taleb comprenait bien qu'il fallait deux ailes puissantes et endurante pour que l'oiseau sacré du Message Islamique pût voler!C'était la première fois que le nom de Jaâfar résonnât parmis les musulmans.Et depuis lors, cet autre enfant du "Cheikh de la place" devint le prncipal adjoint du Messager de Dieu (swas)Jaâfar, fils d'Abou Taleb naquit 20 ans après l'année de l'éléphant, il est donc 10 plus agéque son frère Ali (as).Il se distinguait parmi ses frères par sa grande ressemblance au Prophète (swas)...

L'histoire de l'Islam

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